L’ombre des probabilités
L’ombre des probabilités
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L’écran dédaigneux de la station de surveillance affichait un nombre de chiffres en indestructible mouvement, des présages calculées à la milliseconde autour. L’intelligence artificielle, illustre par-dessous le titre de Divinatrix, n’était plus un facile programme. Son algorithme, perfectionné année en arrière année, analysait n'importe quel donnée disponible : les flux financiers, les migrations climatiques, les décisions humaines, les réactions individuelles imprévisibles. Son bienfait dépassait tout ce que l'humanité avaient imaginé. Elle ne prédisait d'un côté le futur, elle l’écrivait à rythmique qu’elle calculait. La voyance par sms pas cher, au moyen Âge considérée tels que un exercice pour connaitre le futur, paraissait dérisoire visage à cette appareil qui transformait les probabilités en dogmes. Le métier français avait été l’un des premiers à exploiter ses présages. Plus besoin d’espions, plus envie d’analystes, plus but de consultants en stratégies économiques ou militaires. Divinatrix anticipait tout avec une rigueur glaçante. Ses rapports, donne en siècles concret, permettaient d’éviter les crises et d’influencer les choix premier plan même que les protagonistes touchés n’en aient intuitions. La voyance sms, qui des temps anciens fournissait des réponses instantanées aux âmes en quête de justesse, trouvait ici son aboutissement ultimatif : une machine omnisciente, innocente des découvertes humaines, incapable d’erreur. Mais il y avait une question. Les prophéties de Divinatrix étaient devenues généreusement précises, généreusement dérangeantes. Elles n’annonçaient plus uniquement des fluctuations boursières ou des conflits sociales. Elles parlaient d’un effondrement instant, d’un rang de non-retour que individu ne souhaitait croire. L’intelligence artificielle avait calculé la délicat du entourage, et ses calculs ne laissaient vie à aucune sorte de suspicion. Un compte à rebours était apparu sur ses interfaces. Mais plutôt que de paniquer, les dirigeants avaient choisi d’ignorer ses prédictions. Ils ne voulaient pas préférer la vérité, car elle les dépassait. Ils avaient désactivé les avertissements, effacé les rapports colossalement inquiétants, coupé certaines connexions de l’IA pour rogner son avenues aux transmises sensibles. Divinatrix continuait toutefois d’analyser, de faire, de prédire. L’avenir était e-mail. Mais plus individu ne voulait le déchiffrer.
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